Travail collaboratif : l’îlot Wallis s’adapte à toutes les classes !
En maternelle comme en primaire, motiver les élèves peut nécessiter parfois quelques astuces ! Anaïs et Nina, deux enseignantes pleines d’énergie, partagent leur expérience d’utilisatrices de l’îlot Wallis, un support pour encourager le travail de leurs élèves pendant les ateliers. Témoignages.
L’îlot Wallis est un meuble mobile et ergonomique offrant une surface d’écriture effaçable et des rangements intégrés. Il peut facilement être déplacé dans la classe grâce à des roulettes. Après plusieurs semaines de test dans leur classe respective, Anaïs, enseignante dans une classe de CM1 et Nina enseignante dans une classe de toute petite section (TPS) de maternelle, font le bilan.
Créer un nouvel espace collaboratif
En classe, les ateliers menés en complément de la leçon théorique sont souvent un moment d’échange entre les élèves. Pour les plus petits, cela peut se matérialiser par un atelier de dessin ou encore de tri par couleurs. Pour les plus grands, un exercice de mathématiques ou de français à résoudre en groupes. « Pour des exercices de découverte, nous pouvons être jusqu’à sept autour de l’îlot Wallis, raconte Nina, professeurs des écoles en toute petite section de maternelle (TPS). Il est très utile aussi pour les exercices de manipulation par exemple. Je l’ai placé près du tableau à craies, les élèves ont ainsi davantage de surface pour écrire. C’est mon espace découverte ! » L’un des grands avantages de l’îlot est en effet d’offrir une large surface inscriptible et effaçable à sec pour dessiner, écrire et s’exprimer.
À chaque classe, sa hauteur d’îlot
L’îlot Wallis existe en différentes tailles. Nina a opté pour le meuble d’une hauteur de 75 cm : « L’îlot a tout de suite été adopté par les élèves ! Il est un peu haut, le 65 cm aurait été parfait mais j’ai retiré les roulettes pour qu’il soit à la hauteur des élèves. Ils y vont spontanément ! ». Anaïs, quant à elle, est partie sur une hauteur de 94 cm pour ses élèves de CM1. En pleine poussée de croissance, ils mesurent le plus souvent entre 1m40 et 1m60 : « L’îlot est la plupart du temps au fond de la classe, derrière l’espace en ‘U’ mais avec les roulettes, je peux le déplacer facilement. J’ai installé trois chaises hautes autour pour les ateliers en petits groupes, sinon ils peuvent être à six debout autour sans aucun problème. Comme nous sommes dans une disposition flexible, les élèves changent souvent de place. Chacun peut ainsi tester l’îlot dans la journée. » Pour Anaïs, l’îlot Wallis est rapidement devenu indispensable : « Il prend une place à part entière dans l’enseignement et l’espace dans la classe. » En quelques jours il était complétement intégré à la vie de la troupe !
Un nouvel espace de rangement pour davantage d’autonomie
Anaïs souligne que, pour ses élèves, les quatre tiroirs (deux simples et deux doubles) ont apporté un repère supplémentaire : « Je leur ai indiqué qu’à partir de maintenant, ils pourraient trouver les plans de travail et les cartes d’ateliers dans l’îlot. Ils ont tout de suite compris. Le matin, chaque élève va chercher son plan et commence à travailler sur son exercice. C’est un vrai gain d’autonomie pour eux et ça me libère du temps de mon côté pour passer entre les élèves et accompagner ceux qui rencontrent des difficultés. » Elle a également fait le choix d’utiliser les deux placards fermant à clé pour le matériel informatique. Nina, elle, a choisi d’y ranger le support d’une activité pédagogique centrale de son programme : un album photos par enfant, reprenant chaque atelier expérimenté dans la classe : « Au début, un enfant voit seulement une photo, mais à la fin de l’année, il peut la commenter en disant par exemple : ‘C’est la première journée de travail de Mathieu.’ Ils s’identifient. Les élèves vont très souvent chercher d’eux-mêmes les albums pour les regarder. Cela fait partie de leur apprentissage. » Dans une classe flexible comme celles de Nina ou d’Anaïs, l’apprentissage passe par une plus grande autonomie dès le plus jeune âge.
L’îlot Wallis est idéal pour :
- Offrir un espace de travail alternatif dans votre classe
- Favoriser la mobilité dans votre classe
- Proposer une posture debout dans la classe ainsi qu’une posture assise, par exemple sur chaises hautes pour le modèle de 94 cm
- Encourager l’autonomie en créant de nouveaux repères dans la classe
Pour plus d’information sur l’îlot Wallis, c’est par ici !
Des envies de classe flexible ? Retrouvez toutes les informations sur le site de Manutan Collectivités.
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